…avec la magie des voix des Balkans, le dynamisme du Quatuor Zaïde, l’enchantement des « trobairitz » du Duo Séraphîm !
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Vendredi 10 juin à 21h
Église Saint-Savinien
Magie des voix bulgares !
Les Balkanes
Milena Jeliazkova soprane
Milena Roudeva baryton
Martine Sarazin soprane
Diana Barzeva alto

Quatre jeunes femmes, Bulgares d’origine ou de cœur, créent dès 1996 un répertoire inspiré des chants traditionnels des Balkans, servi par des voix aux timbres fascinants !
« Ces filles ont le punch, la douceur, la clarté et le mystère… Poésie, chant, danse à petits pas, de superbes costumes et bijoux traditionnels, les Balkanes partent à la conquête des cœurs. (…) Une présence en scène exceptionnelle et un vrai sourire chaleureux, elles sont expressives et comédiennes. Un peu mimes, aussi, à l’occasion. Un spectacle tour à tour espiègle, mélancolique. Un aperçu d’éternité, suspendu entre ciel et terre. En toute simplicité, sublime ! »
Le Progrès de Lyon
Site des Balkanes
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Samedi 11 juin à 21h00
Église Saint-Savinien
« Invisible » : Clara et Robert Schumann
Fanny et Félix Mendelssohn
Quatuor Zaïde
Charlotte Maclet violon 1
Leslie Boulin Raulet violon 2
Sarah Chenaf alto
Juliette Salmona violoncelle

Le Quatuor Zaïde, c’est une interprétation piquante, revigorante, de la jeunesse dans le jeu !
Dès après sa création à Paris en 2009, il remportait une impressionnante série de prix dans des concours internationaux. Depuis 2020, le quatuor est « artiste associé » de la Fondation Singer-Polignac. La formation met un point d’honneur à ne pas se spécialiser dans un répertoire, convaincue qu’on ne peut comprendre la musique du passé sans habiter celle d’aujourd’hui, et va aussi à la rencontre d’autres styles de musique en collaborant ces dernières années avec les jazzmen Yaron Herman et Marion Rampal, les rappeurs Fianso, Chilla et Lord Esperanza, les chanteurs Camélia Jordana et Bénabar…
Site du Quatuor Zaïde
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Dimanche 12 juin à 17h
Église Saint-Savinien
Les « Trobairitz » et la Fin’Amor
Duo Séraphîm
Carole Matras chant, harpes anciennes
Manolo Gonzalez chant, organetto

En occitan trobar c’est « trouver ». Les trobairitz, femmes troubadours des XIIème et XIIIème siècles, « trouvent » donc, créent, composent, jonglent, chantent, amantes des belles lettres, de la poésie, cherchantet créant des mots. Leurs textes lèvent le voile sur un monde qui affirme sa différence avec des choix décisifs tels l’usage de la langue occitane, langue de fait de la poésie, rimée de Poitiers à Venise, de l’Auvergne à la Sicile, de la Provence à l’Espagne, de Toulouse à Tripoli, et dans la lointaine Hongrie, pour chanter le plaisir amoureux, la jeunesse et la convivialité, participer au débat politique et promouvoir des valeurs laïques et humanistes. Durant deux siècles on écouta ces poétesses et poètes qui chantaient « de maintes couleurs » et sans vergogne, posant les bases de la littérature moderne de l’Europe.
Site du Duo Séraphîm